Archives de Catégorie: Lu pour vous

Le globe et la loi : 5000 ans de relations internationales

Ces vingt dernières années, l’interrogation et l’inquiétude se sont accrues. Le déchaînement du terrorisme islamique, la crise économique de 2008 liée à l’effondrement des marchés financiers, la guerre hybride entre la Russie et l’Ukraine, l’avènement de la grande puissance chinoise dont on ne perçoit pas les limites de ses ambitions mondiales, le chaos  incandescent du Moyen-Orient illustré par le drame syrien, l’élection surprise de Donald Trump et sa politique faite d’embardées unilatérales, les déchirements de l’Union européenne sur ses valeurs et son destin accompagnés du Brexit anglais, mais aussi les risques nouveaux issus des dérèglements climatiques, des nouvelles pandémies et de la cyberguerre, font que l’on a le sentiment que notre monde n’a plus de pilote dans l’avion et qu’il se bouleverse à chaque moment de façon déraisonnée et inquiétante.

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Parfums de Solitude

A propos du FMI, lire « La Grande Désillusion » de Joseph E. Stiglitz 

La Grande Désillusion est un livre écrit en 2002 par Joseph E. Stiglitz sous le titre original Globalization and Its Discontents.

Stiglitz affirme dans cet ouvrage que le FMI fait passer l’intérêt de son « principal actionnaire », les États-Unis, avant ceux des nations les moins favorisées qu’il a pourtant pour objectif de servir.

En prenant comme exemples la crise asiatique et la transition russe, Stiglitz soutient que les politiques préconisées par le FMI ont souvent aggravé les problèmes dont il avait à s’occuper, entraînant des conséquences sociales dévastatrices et un accroissement de la pauvreté.

Le titre français de ce livre a été choisi dans la volonté de le présenter comme une réponse ironique à l’ouvrage La Grande Illusion d’Alain Minc.

Stiglitz réalise une critique de l’action du FMI sur différents dossiers que cette institution a traités depuis le début des années 90, en s’appuyant sur son expérience d’économiste en chef à la Banque mondiale de 1997 à 20001. Selon l’auteur, les actions du FMI lors de la crise asiatique2, de la transition des ex-pays communistes vers l’économie de marché3 ou des problèmes de liquidité de pays en développement4 ont eu une influence néfaste sur les situations économiques des pays concernés en aggravant les crises économiques ou en déclenchant des crises sociales.

 

Il explique ce résultat par la domination d’une idéologie basée sur le consensus de Washington au sein de l’institution. Cette idéologie se fonderait sur la croyance en l’infaillibilité du marché5 et du FMI. Sa persistance serait le résultat de l’action de certains gouvernements de pays développés et notamment celui des États-Unis et du Trésor américain (chargé des relations avec le FMI aux États-Unis). En effet le FMI serait surtout sous l’influence des pays membres ayant le plus de poids en termes de droits de vote, c’est-à-dire les pays riches6 et les États-Unis en particulier7. Les États étant représentés au sein du conseil d’administration du FMI par leur ministre des finances (le Trésor pour les États-Unis), les décisions prises se feraient surtout en faveur du monde de la finance8. Stiglitz étaye ses affirmations par l’observation que les créanciers étrangers sont toujours protégés lors d’une intervention du FMI9 ce qui n’est pas le cas de la population locale et qu’à chaque fois le FMI a demandé la libéralisation et l’ouverture internationale des marchés de capitaux.

 

Pour retrouver une efficacité, Stiglitz recommande de réduire les compétences du FMI pour le ramener à sa mission originelle qui est de soutenir le commerce international10, d’insister davantage sur la création d’une infrastructure institutionnelle lors de ses interventions et d’accorder plus d’importance au phénomène de pauvreté et ses conséquences11. Par ailleurs il insiste sur la nécessité d’une ouverture plus grande des institutions internationales (FMI, Banque mondiale, OMC)12.

Pour lire le livre en PDF, Clic ici  a propos du fmi, lire « la grande désillusion » de joseph e. stiglitz

 

Réputation du Maroc dans le Monde 2017

Le présent rapport, réalisé en partenariat entre l’Institut Royal des Etudes Stratégiques (IRES) et « Reputation Institute », est la troisième édition de l’étude sur la réputation du Maroc dans le monde.

Il a pour objet d’examiner les forces et les insuffisances du Maroc, en termes de réputation externe et interne ainsi que les leviers qui pourraient constituer des opportunités de communication sur l’image du Royaume à l’international.

L’édition 2017 se base sur un échantillon de 22 pays qui intègre les pays du G-8 et 14 pays développés et/ou émergents, relevant des principales régions du monde, qui constituent une priorité de la stratégie de positionnement international du Maroc.

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Loi de finances Budget Citoyen 2018

 

  • Qu’est qu’un budget de l’Etat ? Et comment est-il préparé ?
  • Quelles sont les hypothèses sur lesquelles le budget 2018 s’est-il basé ?
  • Quelles sont les recettes et les dépenses du budget 2018 ?
  • Quelles priorités pour le budget 2018 ?
  • Comment le budget 2018 serait-il dépensé ?

Clic ici Budget Citoyen 2018

Bravo au MEF !

Moyen Orient : le plan Américano-Israëlien

Au lendemain des attentats du 11 septembre à New-York, les Etats-Unis et Israël, ayant désormais les coudées franches au nom de la lutte contre le terrorisme islamiste, entreprenaient, sur plusieurs années, un remodelage des pays arabo-musulmans, qui vont du Maghreb au Pakistan. Excipant divers prétextes pour convaincre la communauté internationale à les suivre – ou au moins à les laisser faire – cet « axe du Mal » allait utiliser
la puissance militaire et les moyens subversifs pour réaliser cette recomposition au service de leurs intérêts géostratégiques bien compris. Dix jours après les attentats du 11 septembre, Donald Rumsfeld, le chef du Pentagone, présentait au général Wesley Clark (interview de celui-ci le 2 mars 2007) un mémo dans lequel il est précisé que sept pays arabomusulmans devaient « passer à la casserole » : l’Afghanistan, l’Irak, la Libye, le Liban, la Syrie, le Soudan et l’Iran.

Clic ici Moyen Orient Le plan américano israelien

Iscae Corporate & Management du Sport

Aid Al Fitr et Zakât el-Fitr

 

Aïd Al Fitr L’Aïd el-Fitr est la fête musulmane marquant la rupture du jeûne du mois de ramadan.. Elle est aussi parfois appelée Aïd es-Seghir la petite fête par opposition à Aïd el-Kebir, la grande fête (fête du sacrifice).

La date de l’Aïd el-Fitr est le jour suivant le dernier jour du mois sacré de Ramadan, c’est à dire le premier jour du mois de shawwal.

Le fidèle s’acquitte de l’aumône de la rupture du jeûne ou Zakat el-Fitr. La prière (salat ul aïd) a lieu en début de matinée et est effectuée soit dans une mosquée, soit dans un mossalla permettant de rassembler plus de fidèles. La tradition musulmane ou sunna veut que le fidèle prenne son petit déjeuner (préférablement composé d’aliments sucrés) avant de se rendre à la prière. Après la prière et selon les pays, les fidèles visitent leurs proches et amis afin de leur présenter les voeux de l’Aïd.

……Clic ici aid al fitr et zakat

bonne fête !

Constat du jour : Al-Hoceima

Avec ce qui se passe à Al-Hoceima, on n’a pas fini, et on ne finira pas, d’entendre des commentaires qui vont du « vert au pas mûr », accompagnés de toutes sortes d’images de scènes des plus attendrissantes aux plus choquantes !

Ce faisant, rares sont ces colporteurs de bonnes et/ou de mauvaises nouvelles et ces commentateurs plus ou moins autorisés qui savent de quoi ils parlent…à commencer par la ville d’Al-Hoceima elle-même !

C’est pourtant une précaution nécessaire. Même si elle n’est pas suffisante !

pour, au moins, savoir de quoi on parle,

Clic ici Al Hoceïma

 

Constat du jour : Faut-il faire confiance aux islamistes ?

Il y’a 11 ans de cela, un peu plus que jour pour jour, hamid Barrada de Jeune Afrique avait interviewé le Dr Saad Eddine el-Othmani, alors secrétaire général du PJD qui s’apprêtait à se lancer dans la bataille des élections législatives de 2007 avec la ferme intention de les remporter.

 

Retour sur une interview très édifiante maintenant que le Dr Saad Eddine el-Othmani est chef du gouvernement !

 

Petit extrait relatif à l’alcool :

Q/ Le tourisme est inséparable des plaisirs de la vie que proposent les boîtes et les bars. Interdisez-vous la consommation d’alcool ?

R/ Aucune restriction pour les touristes, encore qu’il ne me semble pas que ce soit ce qui les attire au Maroc.

Q/ Et pour les musulmans ?

R/ La loi interdit la vente d’alcool aux musulmans.

Pour lire l’intégralité de l’Interview, clic ici  Faut il faire confiance aux islamistes